Le bienheureux Guerric (image Internet)

Guerric naît entre 1070 et 1080 à Tournai, en Belgique. Il reçoit sa première éducation à l’école cathédrale de la même ville, probablement par Odon de Cambrai, qui en est l’écolâtre. Il est fort probable qu’il ait lui-même été en charge de cette école. Mais en 1116 il se retire dans une maison proche de l’église de Tournai pour y mener la vie érémitique, ce qu’il fera dix années durant. Il entre à Clairvaux en 1126 et sans doute sur l’influence de Bernard, devient abbé d’Igny, une fondation de Clairvaux, près de Reims en 1138.

Sous son abbatiat, l’abbaye est florissante, les vocations affluent. Il y décèdera le 19 août 1157. Seuls 54 de ses sermons sont parvenus jusqu’à nous. Il y développe entre autres une importante spiritualité mariale. Pour lui nous sommes des « mères de l’Enfant qui est né non seulement pour nous, mais de nous » et c’est « dans notre âme que naît le Christ ». Le modèle de cette maternité spirituelle est, bien entendu, la Vierge Marie.

 

 

 

 

 

 

Le bienheureux Guerric – Image Internet

Guerric naît entre 1070 et 1080 à Tournai, en Belgique. Il reçoit sa première éducation à l’école cathédrale de la même ville, probablement par Odon de Cambrai, qui en est l’écolâtre. Il est fort probable qu’il ait lui-même été en charge de cette école. Mais en 1116 il se retire dans une maison proche de l’église de Tournai pour y mener la vie érémitique, ce qu’il fera dix années durant. Il entre à Clairvaux en 1126 et sans doute sur l’influence de Bernard, devient abbé d’Igny, une fondation de Clairvaux, près de Reims en 1138.

Sous son abbatiat, l’abbaye est florissante, les vocations affluent. Il y décèdera le 19 août 1157. Seuls 54 de ses sermons sont parvenus jusqu’à nous. Il y développe entre autres une importante spiritualité mariale. Pour lui nous sommes des « mères de l’Enfant qui est né non seulement pour nous, mais de nous » et c’est « dans notre âme que naît le Christ ». Le modèle de cette maternité spirituelle est, bien entendu, la Vierge Marie.